Après trois mois de bons et loyaux services auprès des pilotes qui volent légers, et bien voilà, c’est parti en vrille à “la Gazette” Forcément avec l’équipe qui tient la baraque, fallait pas s’attendre à des miracles, hein ! On peut dire qu’ils ont tenu le coup trois mois, estimons nous heureux. N’empêche, je crois bien que ça glissait déjà
Ce lundi 25 mars, je me suis fait prendre au piège par mon ami Claude Cordelle qui m’a fait venir dans la région champenoise. Le bougre savait pertinemment que je pouvais traverser la France à la promesse d’un café gourmand. Claude avait cependant autre chose en tête, et dès qu’un repas copieux fut avalé, il n’a pas eu de mal à
Il fallait bien se rendre à l’évidence, à deux jours du bouclage du quatrième numéro de la Gazette, on était un peu « à la rue » côté paramoteur. Pourtant c’est pas l’envie qui manque, de mettre en avant cette discipline qui se pratique en dehors des aérodromes, et souvent en bande de copains. Bref, on allait faire chou blanc jusqu’à ce
Dans un monde où les smartphones sont plus intelligents que certains d’entre nous, où les drones sillonnent les cieux comme des abeilles en quête de pollen numérique, et où les jeux vidéo ont transformé nos adolescents en experts du joystick, il reste une espèce rare et fascinante : les pilotes d’ULM, les derniers romantiques du dimanche face à la technologie.
J’ai découvert le vol un soir d’été à Pont sur Yonne, mon copain Cyril m’avait harnaché à l’arrière de son machin jaune avec des grosses roues, suspendu à une aile delta. J’ai découvert le pilotage à Persan Beaumont quelque semaines plus tard, chez Air Plaisir. Mon instructeur Alain Dumetier m’a initié au palier d’accélération, au virage glissé, à la PTU
On en avait fait grand bruit au mois d’octobre, en 2024 la Grande Course reverra le jour. Le concept des années 80 était absolument charmant : une course de 48h pour parcourir le maximum de kilomètres en ULM. Tous les coups sont permis, sauf voler de nuit et se poser sur un aérodrome ou une base ULM ! Vachage obligatoire
Alexis Peltier, avez-vous déjà entendu parler d’Alexis Peltier ? Ce nom-là, je l’avais déjà entendu prononcé par les anciens, ceux de la vieille piste, quand ils parlaient de la belle époque. Peltier, c’est l’un de ces noms qu’on mettait à côté de celui des Magallon, Lemonnier, Michelet, Lohoux… Pourtant, Alexis n’était qu’un jeune homme au début des années 80 quand
On s’était donné rendez vous au « Dernier Métro” à Paris, avenue de Grenelle à Paris. Jason, que ses amis appellent Jazz, est un pilote spécialisé en prise de vue aérienne en ULM pendulaire.Il a pris le temps de partager avec moi, autour d’un café, le récit captivant de son parcours professionnel.Avant tout Jazz, c’est un mec du cinéma. Il a
Ce matin, 8h45, café Royal, 58 rue Marguerite de Rochechouart, Paris 9ème Chaque matin, c’est un rituel, je vais prendre mon petit café au bistrot du coin. C’est l’heure de pointe, Paris est déjà debout. Les habitués jouent des coudes avec les clients pressés. Mr Raymond, cafetier de son état, s’entretient avec un client, tout en lui servant un petit
Jackson Onami, arrivé en hexagone en 2014 en tant qu’athlète affilié au célèbre club d’athlétisme français, le Stade Rennes Athlétisme, a décidé de troquer ses baskets contre des ailes. « On disait de lui qu’il courait plus vite que le vent, il a naturellement fini par s’envoler …» Originaire du Kenya, où les rêves de vol sont souvent éclipsés par les réalités