Hier est derrière, demain est un mystère et aujourd’hui est un cadeau. C’est sur cette pensée zen, tirade du film d’animation Kung-Fu Panda, que commence mon édito. Et, oh que oui, le temps est passé si rapidement depuis nos débuts en février ! La gazette va donc fêter sa première année. Au cours de ces mois vous avez grandi avec nous, suivi nos évolutions, certaines et certains ont été rédacteur d’un jour. Des rubriques sont nées progressivement comme le bazar, les tutos mécaniques, les essais machines, les fausses pubs et nul doute que le contenu évoluera au fil du temps. Un tirage papier (à la demande) dans un avenir proche ? Le sujet est toujours en discussion. Une chose est néanmoins certaine, nous continuerons, malgré les vents contraires et une couche nuageuse basse, à faire de notre mieux. Notre ADN, notre leitmotiv sera toujours de vous proposer un savant mélange d’articles sérieux, mais aussi faits de rêves, d’aventures passées et présentes, le tout saupoudré, bien évidemment, de pages à l’humour potache, décalé et même irrévérencieux, n’en déplaise aux réfractaires de la drôlerie du second et troisième degré. Pas question de s’excuser sur le sujet. Sur le prochain numéro de janvier une nouvelle équipe (ou pas) de la fédé sera en place. Nous allons en prendre pour cinq ans. Espérons que des âmes charitables et désintéressées s’inscriront sur des listes concurrentielles pour les élections, au-delà de velléités stériles, d’égos mal placés et de création de groupuscules alternatifs voués à l’échec. Mais laissons place à la magie de noël, fil conducteur de ce dernier opus de l’année. C’est le moment de mettre son appareil au chaud, de se glisser sous la couette, de lire et relire nos publications et les livres sur l’aviation légère. C’est toujours mieux que de visionner un film de Noël où Brandon quitte New-York pour retrouver son village natal avec sa chemise à carreaux de bûcheron et de renouer avec son premier amour pour sauver un héritage familial. Au nom de la rédaction, nous vous souhaitons de bonnes fêtes de fin d’année, des idées plein la tête, des projets en pagaille et notre dernière pensée ira à Hervé Ribet qui sera loin de ses proches, mais qui lui, aura vécu son rêve. Ah oui, au fait, John Biroute, c’est moi…